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Derrière le masque du Coca-Cola

spiritsoleil coca colas la face cachee WCLe Coca-Cola, c’est officiellement de l’eau gazéifiée, des aromes naturels, des extraits végétaux, du sucre. Mais que sont ces extraits végétaux? secret ! La formule secrète est détenue dans un énorme coffre fort par son Pdg à Atlanta devenue la Mecque du Coca-Cola. Pourtant près de 80 millions de personnes dans le monde ouvrent une bouteille de Coca-Cola chaque jour et la société en vend 2 milliards. Suicide collectif assuré?

 

2 milliards de boissons vendue par une seule entreprise. Il y a là quelque chose de démesuré. Pourtant à Atlanta tout le monde en boit et se fiche de connaître la formule de ce qui est bu. Et ailleurs sur la planète c'est la même satisfaction béate d'ignorance. Alors - comme pour les cigarettes dont les paquets illustent en image l’épouvante conséquence –  une barrière mentale de tranquillité et d'indifférence semble s'installer. L'addiction est telle qu'il ne faut pas culpabiliser ni même être dérangé. Mais quel(s) produit(s) contient cette boisson pour avoir un tel pouvoir sur les esprits ?

Portons un simple regard autour de nous lorsque nous sommes au restaurant : sur les tables pratiquement 100% des enfants ont un verre de coca devant eux, souvent incités par les parents à le commander. Le danger réside dans l'engramme de cette habitude reproduite parfois deux fois par jour ou plus*. Là commence l'addiction et le conditionnement. Résultat de nos jours : 100% des ados jusqu‘à 30 ans sont au coca*. Un rendez-vous assuré vers la maladie ou encore pire, que le patrimoine collectif - la sécurité sociale -  devra couvrir et absorber dans ses comptes.

Histoire diluée du Coca-Cola

En 1886 à Colombus aux Etats-Unis, John Perbenton, un pharmacien ayant fait la guerre de Sécession, traine de sales blessures douloureuses qui le conduisent à s'abandonner à la morphine (il la remplacera ensuite par d’autres drogues anti-douleurs moins dangereuses). Passionné de sodas, il invente des compositions à visées thérapeutiques. Il prend comme base une boisson française à la mode "le vin Mariani" contenant de la cocaïne à l’époque légale. Parmi ces formules une recette originale manuscrite de l’inventeur datée de 1910 : elle  inclue de la cocaïne. Pendant des années, cette mixture sera vendue en pharmacie en tant que médicament à usages multiples notamment contre les douleurs et l'anxiété. Son nom de baptême est "coca cola", signifiant ainsi clairement qu'elle est à base d’extraits de feuilles de coca et noix de cola.

Depuis, la formule a été remaniée plus d'une fois et la cocaïne a été interdite dans les sodas en 1906. Mais y a-t-il toujours de la cocaïne dans la boisson "préférée" des enfants qui seraient devenus des cocaïnomanes officiels sans le savoir ? Direction le port de New Jersey. Là une société reçoit en provenance de Bolivie et du Pérou de grandes quantités de feuilles de coca. Cette importation est légale. Mais pour uniquement l’usage pharmaceutique. Et de la société ... Coca-Cola. Une usine spécialisée (Stepan company) traite les feuilles pour en extraire la cocaïne répondant aux besoins de l'industrie pharmaceutique, mais nul ne sait pour ce qui concerne Coca-Cola. Pourtant c’est aussi cette même société qui livre à l’usine Coca-Cola des barils de concentrés qu'elle dilue avec de l’eau avant de les conditionner. Sur les barrils protégés de grilles : "Dangereux-Corrosif". Alors quelle est la nature de l'extrait de coca dans la boisson ?

Intoxication au sucre

Les ruses et l'agressivité de l'agro-industie profite à toute la chaîne du business. Dans les fast-food états-uniens, les verres d’eau sont de petite taille  alors que les les gobelets de Coca-Cola contiennent 75 cl, et les verres suivants sont gratuits comme pour pousser à la consommation. Résultat : en Californie 40% des autochtones sont en surpoids ou obèses (et cela gagne l'Europe et la France). L'Etat californien a donc déclaré la guerre aux sodas : interdiction est faite de vendre des boissons sucrées dans les lieux publics et les écoles. Pourtant nous sommes au pays de la libre entreprise et du tout profit. Alors il faut qu'il y ait une véritable urgence de santé publique pour qu'une institution publique en vienne à diaboliser les sodas surtout auprès des jeunes. C'est que dans ½ litre de coca cola, on a découvert que s'y trouve l’équivalent en sucre de 16 sachets de bistrot. Un américain buvant en moyenne 170 litres de soda par an incurgite ainsi 20 kg de sucre ! Il y a 50 ans, on buvait en moyenne 4 verres de Coca-Cola par an. Aujourd’hui, les sodas remplacent l’eau et sont devenus la première source de calories (mauvaises) des états-uniens.

coca cola la face cachée : addiction, dépendanceEt ce sont les plus pauvres - le plus grands nombres sur la planète - qui trinquent. Ainsi sur l’ile Maurice, 70% des autochtones sont devenus diabétiques : ils grignotent à longueur de journée des sucreries et consomment des boissons sucrées (sodas, coca cola….) pour caler la faim. Dans les hôpitaux de l'île une spécialité est en plein développement : la chirurgie des memebres. On ne cesse de couper des doigts et des orteils atteints de gangrène du fait de cette consommation délirante de sucre. Les cas de cécité partielle ou totale se multiplient aussi avec l’âge. Le Mexique, champion du monde de la consommation de Coca cola, propose la boisson  gazeuse à un prix moins élevé que l’eau (7 pesos le litre contre 8 pesos pour l’eau)

Conditionnés dès le plus jeune âge

Plus les gens sont attrapé jeunes dans les mailles du filet plus ils deviendront accros. Et plus ils auront de risque de devenir obèses. L'industrie des régimes alimentaires en profite mais c’est la première fois qu’une nouvelle génération risque de vivre en bonne santé moins longtemps que ses parents. D'autant que tout ce sucre acidifie l’organisme en une acidose récurente, terrain propice à de nombreuses maladies inflammatoires. Les nutritionnistes et spécialistes mondiaux de l’obésité alertent : chaque cannette métallique de la boisson rouge et blanche contient 39 grammes de sucre équivalent à 10 cuillères à café débordantes. Et nombre de consommateurs avalent 2 cannettes de coca par jour. Autrement dit 20 cuillères à café de sucre. Bonjour le pancréas.

Le sucre est classé "drogue douce" donc addictif d'autant qu'il affecte la zone de récompense du cerveau, la même zone que celle où la cocaïne  opère ou encore la nicotine, les amphétamines, l’héroïne, la morphine. Ainsi plus on en consomme, plus la dopamine du cerveau en redemande afin de maintenir le même niveau de satisfaction. Mais cette escalade préfigure une lente descente aux enfers. Et sur les enfants, c’est un désastre.

De nos jours en ces premières décennies de XXIème siècle, les cliniques des pays développés pour obèses accueillent à présent des enfants de 8 à 10 ans dont les taux de lipides sont de même niveau que ceux de sexagénaires avec pour certains déjà du diabète type 2. Ils vont perdre 20 à 30 ans de vie, atteints de maladies que seuls la gérontologie connaissait . Ils se dégraderont et mourront d'attaque cardiaque ou d'AVC, decancer ou de gangrène. Ils tomberont dans la démence.

Comme l'industrie de la mal bouffe a senti le vent touner elle a inventé la réponse au probème qu'elle a crée : la boisson prétendue "light", sans sucre donc. Mais croire à cette solution est un trompe-l'oeil, c’est tomber de Charybde en Scylla. En effet l’édulcorant de substitution  pour compenser l’amertume du breuvage est l’Aspartam. Et qu'est cet édulcorant ? Un poison créé dans le cadre de la guerre chimique menée par les Etats-Unis contre le Vietnam et dont la toxicité à fait des ravages incommensurables sur les populations et l'environnement. Cette dangereuse excitotoxine sucre 180 fois plus que le saccharose. Pourtant pendant six ans la FDA américaine a refusé l'autorisation de mise sur le marché de ce poison s'appuyant sur un colossal dossier alarmant répertoriant 92 effets secondaires (1). Mais les pression politiques du sinistre militaire-ministre Ronald Rumsfeld et économico-financière de l'Organisation Mondiale du Commerce l'ont emporté. L'aspartam a été autorisé, 90 pays dont la France se sont alignés

Un colorant à l'amoniaque aux aspect de caramel

La couleur caramel caractéristique du Coca-cola n'est pas naturelle. Elle est obtenue par un bricolage chimique obtenu à partir du sucre traité à l’ammoniaque auquel sont ajoutés,sous haute pression, plusieurs acides. C’est le E150 B qui se retrouve mentionné aussi sur nombre d'autres produits dit alimentaires. Evidemment ce tripatouillage de paillasse et de tubes génère de nouvelles molécules dont l’une a été baptisé 4MI. Elle a été démontrée cancérigène chez les animaux. Mais le scientifique américain Mike Jacobson affirme que chez l'humain elle génèrerait plutôt des leucémies.Nous voilà prévenu. Mais pas rassuré pour autant. Dans le Coca "light" la limite du colorant est multipliée par 3.

Ce risque de colorant est tel que l'Etat de Californie a obligé Coca-Cola et Pepsi-Cola à en réduire le dosage par litre. Pas plus de 29 microgrammes. La France  a-t-elle aussitôt suivit ce début de bon sens. Pas du tout : le pays réputé mondialement pour sa gastronomie en tolère 2 fois et demie plus : 79 microgrammes ! 

L’omerta sur la composition conduit à penser qu'il contient des choses peu avouables. Un peu à l'image des vaccins. Sinon pourquoi tant de secrets ? Le secret industriel protégeant le business doit-il couvrir, au non d'un libéralisme assassin, les atteintes à la santé publique? Telle l'introduction de plus en plus fréquentes en catmini de nanoparticules dans les produits de grande consommation. Des artifices technologiques indétectables mais bien présents de plus en plus dans l'assiette et les produits dit de beauté. Couplées à la miniturisation électronique de plus en plus impalpables - telles les puces préprogramées - le cerveau humain a intérêt à vite réagir avant d'être complétement lobotomisé.

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*au-delà de 30 ans les hommes se mettent à la bière ou au rosé.... qui ont d'autres inconvénients – les femmes passent au champagne des pauvres : l’eau gazeuse.

(1) "Prenez en main votre santé" tome 3 – Ed. Guy Trédaniel

source: reportage de Olivia Mokiejewski, journaliste de France 2, instigatrice de la "Collection  documentaire de L’Emmerdeuse".

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